Parallèlement à une carrière de journaliste reporter international (texte et photo), ABK s’interroge sur l’avenir de la peinture et du vivant, à l’aune des nouvelles technologies (notamment les NBIC), et des problématiques fondamentales actuelles.
À partir de la décennie 2010, elle mène en autodidacte des recherches plastiques sur la peinture et les technologies. Jusqu’au jour où l’UFR d’arts plastiques de Paris 1 l’admet par mesure exceptionnelle en Master II.
ABK mène désormais une recherche mêlant art et science en thèse, sur le courant pictural qu’elle formalise sous le nom de peinture augmentée, auprès de deux universités.
Ni technophile ni technophobe, l’artiste infuse dans ses travaux, des lectures et des échanges avec ses pairs et avec des scientifiques de par le monde, nourrissant sa réflexion.